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Claude-Joël VOYAU
Président de la FFEDB

Fédération Française de l'Encouragement du Dévouement et du Bénévolat

Déclarée le 26 juillet 1910 par Louis CHARMY, publiée au Journal officiel du 4 août 1910,
la Société d’Encouragement était née. C’est la détresse des sinistrés des grandes inondations de
PARIS qui ont poussé Louis CHARMY et 2 de ses amis du bureau social Parisien à l’officialiser pour les aides
qu’ils voulaient leur apporter.
En 1967, la société est acceptée comme membre au Comité Français des Organisations Non Gouvernementales pour la liaison et l’information des Nations Unies : ONG ONU.
Au fil des années, elle devient Société Républicaine de l’Encouragement du Dévouement, puis Société Nationale d’Encouragement au Dévouement, et, depuis 1990 Fédération Française de l’Encouragement du Dévouement et du Bénévolat : FFED
Après la succession de plusieurs Présidents, en 2003, la Présidence nationale est assurée par
Madame Renée CAGNON. Sous sa Présidence, la Fédération est reconnue d’intérêt général et membre
du Comité de la Flamme sous l’Arc de Triomphe. Ces appartenances permettent à toutes les
Associations affiliées d’aller tous les ans au ravivage de la Flamme qui rappelle les devoirs civiques de tous
les Français devant le sacrifice fait par nos aînés.
Les Fêtes du centenaire se sont déroulées à Paris les 13 et 14 Novembre 2010 au Palais du Luxembourg, sous le haut patronage de Monsieur Gérard LARCHER Président du Sénat.
De 2011 à 2017, la Présidence nationale est assurée par Monsieur Jean-Michel POUDRIER (décédé le 9 septembre 2017).

En 2011, la Fédération ajoute la lettre B de bénévolat à son sigle et devient FFEDB.
Le 30 septembre 2017, Monsieur Claude-Joël VOYAU est élu à la présidence de la Fédération.

Le PÉLICAN est depuis 1910 l’emblème de la Fédération, cet oiseau, selon la légende, se sacrifie jusqu'à la dernière goutte de son sang en s’ouvrant les entrailles avec son énorme bec pour nourrir ses petits.

Lorsque le Pélican, lassé d’un long voyage.
Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux.
Ses petits affamés œuvrent sur le rivage
En le voyant au loin s’abattre sur les eaux...
Déjà, voyant saisir et partager leurs proies,
Ils œuvrent à leur père avec des cris de joie
En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux.
Lui gagnant à pas lents une roche élevée.
De son aile pendant abritant sa couvée.
Pécheur mélancolique, il regarde les cieux.
Le sang coule à longs filets de sa poitrine ouverte :
En vain il a des mers fouillé la profondeur :
L’Océan était vide et la plage déserte :
Pour toute nourriture, il apporte son cœur.
Partagent à ses fils ses entrailles de père.
Dans son amour sublime il berce sa douleur.
En regardant couler sa sanglante mamelle.
Sur son festin de mort il s’affaisse et chancelle.
Ivre de volupté, de tendresse et d’horreur

 

Le Pélican : définition

Oiseau aquatique (famille des palmipèdes), muni d’une poche qui a son ouverture entre les deux branches osseuses dont est formée sa mandibule inférieure ; cette poche est composée de deux feuillets dont l’interne est contigu à la paroi de l’œsophage, tandis que l’externe est la peau du cou, pelicanus onocrotalus. Le pélican a été pris pour le symbole de l’amour paternel, parce que des auteurs ont écrit faussement qu’il nourrissait ses petits de son propre sang. Lorsque le pélican, lassé d’un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés
courent sur le rivage.... Pour toute nourriture il apporte son cœur. [MUSSET, Nuit de mai.]

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